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- L'association Dayan HaEmet vous propose les services d'une Hevra Kadicha.
- Si vous êtes à l'étranger, sans possibilité de confier la Tahara à une équipe expérimentée, n'hésitez pas à nous demander conseil.
- Nous mettrons notre expérience à votre disposition, pour vous permettre d'accomplir au mieux cet acte essentiel.
- Pour toute information, nous vous recommandons de nous contacter :
Une "Hevra Kadicha", ce sont les personnes qui vont se déplacer pour effectuer ce qu'on appelle la "toilette rituelle".
Très réactive et joignable 24h/24, la Hevra Kadicha de l'association Dayan HaEmet opère à Paris et en région parisienne.
Nous pouvons aussi intervenir et organiser une toilette rituelle pour un(e) défunt(e) en grande banlieue et en province dans les plus brefs délais.
Directement par téléphone au :
+33 6 50 48 33 03
Ou par WhatsApp :
Cliquer pour envoyer un message
N'hésitez pas à nous faire connaître votre demande ou vos questions.
La Toilette Rituelle
- Que signifie "Hevra Kadicha" ? Autrefois, la "Hevra Kadicha" regroupait les personnes dont le rôle était d'assumer l'ensemble des "derniers devoirs", c'est-à-dire ceux relatifs au mort et à son enterrement.
- Elles s'occupaient donc de la toilette rituelle. En hébreu "Tahara" signifie littéralement "purification", et consiste, selon le sens simple, à laver le corps de la tête aux pieds.
- Elles s'occupaient ensuite non seulement d'envelopper le défunt dans un linceul, mais aussi des funérailles, de la préparation de la fosse pour la tombe et de l'inhumation.
- Aujourd'hui en France, le terme "Hevra Kadicha" désigne le plus souvent celles ou ceux qui feront la Tahara.
- C'est un travail difficile, souvent peu valorisé, mais essentiel.
- Malheureusement, de nombreuses communautés souffrent aujourd'hui en France et à l'étranger de ne trouver personne pour réaliser et enseigner cette grande Mitsva.
- C'est une des raisons pour lesquelles Dayan HaEmet a sa propre Hevra Kadisha. Notre objectif est répondre à la demande, non seulement de celles et ceux qui vivent à Paris et en Ile-de-France, mais aussi de ceux qui sont trop éloignés des grandes villes.
- Nous sommes là pour offrir aux défunts une toilette rituelle strictement respectueuse de la Halakha, de manière à concilier le respect des traditions juives et l'identité de la famille.
- N'hésitez pas à nous faire connaître votre demande ou vos questions.
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Comment se passe la Tahara (ou Toilette Rituelle) ?
- Si le corps n'est pas au domicile, la toilette se fait dans l'établissement choisi par la famille, qui possède en général une salle prévue à cet effet.
- Si le corps est au domicile, la Hevra Kadicha, des hommes pour la toilette d'un homme, des femmes pour une femme, se présenteront en général quelques heures avant la mise en bière et l'inhumation.
- La famille sera priée de quitter la pièce où se trouve le corps.
- Après une série de gestes rituels précis et ordonnés, on verse une grande quantité d'eau sur le défunt.
- C'est la purification (Tahara) à proprement parler.
- Après l'avoir séché avec un linge propre, la Hevra Kadicha habille le défunt de ses Takhrikhin (un linceul, en lin ou en coton).
- La coutume veut qu'un homme soit revêtu de son Talith (ou châle de prière) à l'issue de la Tahara.
- Le talith doit être "passoul" (impropre) : la Hevra Kadicha arrache un ou plusieurs coins du châle, qu'elle confie aux endeuillés.
- Ceux-ci peuvent les conserver en souvenir, ou les mettre à la Gueniza.
- Après la toilette, si le cercueil a été livré, la Hevra Kadicha procède à la mise en bière.
- La toilette rituelle, ou Tahara, ne peut être pratiquée par les proches, par décence.
- C’est une « hevra kadicha » qui en a la charge.
- Codifiée, elle suit un "seder" très précis, qui permet de laver le corps de la tête aux pieds.
- Après le déshabillage et la toilette du défunt, vient la Tahara à proprement parler.
- La Tahara, ou purification, consiste à verser sur le corps une grande quantité d'eau (entre 13 et 21,6 litres) en une seule fois.
- Après cela, le corps est délicatement séché, et revêtu de ses derniers vêtements, les takhrikhin.
- Puis on enveloppe le défunt de son linceul, avant de procéder à la mise en bière.